Devant les menaces des opposants de marcher de « gré
ou de force » le 21 novembre prochain, le ministre de l’Intérieur, M. Abdoulaye
Daouda Diallo, s'est voulu clair : "force restera à la loi".
Et d'expliquer : "Ça va être difficile à partir d’un document de
travailler à interdire des manifestations ; une manifestation relève de
l’autorité du gouverneur ou du préfet et même du sous-préfet par moment. C’est
à ces autorités d’apprécier les informations fournies à leur niveau et d’en
donner une suite favorable ou non. Donc, il faut constater que nous allons vers
un sommet particulièrement important qui va nécessiter que nous fassions nos
efforts ailleurs plutôt que dans l’encadrement de manifestations. Dans tous les
cas, c’est à elles de voir de la recevabilité. Et si ce n’est pas le cas,
nécessairement, ces manifestations ne seront pas autorisées et n’auront pas
lieu non plus. Parce que, quand même, l’Etat restera un Etat fort, un Etat de
droit où toute la rigueur du droit sera appliquée".
SOURCE : Ferloo
SOURCE : Ferloo
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