mardi 9 décembre 2014

DECOUVERTE : COUMBA GUAYE TAMBA ARTISTE SENEGALAISE : « JE REVE DE REUSSIR DANS LA MUSIQUE POUR AIDER LES ENFANTS »


Originaire de la région de Tambacounda à l’est du Sénégal, cette  jeune fille s’active dans musique depuis quelques années .Elle ambitionne de marquer son empreinte dans la musique sénégalaise. « Coumba gaye Tamba »souhaite marcher sur le pas de ses ainés qui ont réussi dans ce métier .Son slogan «travailler surement et avancer doucement »  .Entretien
Bonjour, présenter vous à nos lecteurs.

Je m’appel Coumba Gaye, je suis musicien. J’ai commencé à chanter depuis tout petit. Mais c’est en 2005 que je suis entré dans le show bizz. Je chantonnais depuis tout petit .Je suis originaire dans la région de Tambacounda, un milieu vraiment riche sur le plan culturel .J ‘ai grandi entre deux cultures, la culture peulh et celle mandingue .La musique est dans mon sang et les sénégalais vont le découvrir .Dans ma musique il y’aura pas de frontière .Toutes les langues s’y retrouverons. Je joue toutes les variétés du « mbalakh » en passant par le « yéla ». Je travaille beaucoup dans la musique acoustique également.

De  2005 à nos jours qu’est ce que vous avez mis sur le marché comme production ?
Je n’ai pas encore mis sur le marché un album pour plusieurs raisons .Au Sénégal quand on fait de la musique et qu’on est jeune fille c’est un peu difficile,  parce que toutes les tentations sont la. Dans le milieu de la musique, il y’a beaucoup de chantage .Pour  le moment j’ai juste mis sur le marché un clip .Beaucoup de promoteurs veulent me produire mais ils ne me proposent  rien de concret .Bien vrai que je n’ai pas encore les moyens mais j’ai confiance vraiment en moi .Je sais qu’un jour le monde va me découvrir  inchallah .Je gère ma carrière doucement mais surement. Je veux vraiment réussir dans la musique et  travailler un jour   avec des ONG comme Unicef afin d’aider les enfants .C ‘est un rêve qui me tient à cœur. Je lance un appel aux hommes de bonne volonté pour qu’ils m’aident afin que je puisse mettre sur le marché une production.
 
BOUDAL NDIATH                                                                                
 Journaliste – Consultant chez Africpost
 

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