vendredi 30 janvier 2015

DIEWRINE ARTISTE SLAMMEUR « AU SENEGAL ON COMMENCE A COMPRENDRE LE SLAM »


 
LE SLAM EST UN GENRE MUSICAL DANS LA FAMILLE DU HIP HOP .VENU DE LA VILLE DE CHICAGO AU ETATS UNIES .LE SLAM EST NEE DE L’INSPIRATION MARK KELLY SMITH EN 1950.C’EST LE PREMIER A ORGANISEE LES SOIRES SLAM DANS LE MONDE PAR L’ORGANISATION D’UN TOURNOI DE POESIE  EN 1984 .LE SLAM A INSPIRE BEAUCOUP DE JEUNES DANS LE MONDE PARTICULIEMENT DES JEUNES COMME MOUHAMADOU BAMBA MBAYE. CE SLAMEUR SENEGALAIS PLUS CONNU SOUS SON NOM D’ARTISTE DIEUWRINE .CE JEUNE A REUSSI A IMPLANTER LE SLAM AU SENEGAL .CE MEMBRE DU BUREAU DE GIVE ONE PROJECT CROIT COMME FER A SON BOULOT DE SLAM .DANS CET ENTRETIEN .DIEUWRINE NOUS PARLE DU SLAM ET SON EVOLUTION AU SENEGAL.ENTRETIEN
PRESENTEZ VOUS A NOS LECTEURS ?
Je suis née en Mauritanie .Ma famille était en Mauritanie ,c’est lors de événements de 1989   que nous somme revenu au senegal dans des, conditions difficiles .J’ai grandit pratiquement au senegal J’ai commencé a faire le rap en 2000..je suis une griot et j’ai la chance de naitre dans une famille qui écrit beaucoup .le slam c’est la poésie c’est un genre venu des états unies .le slam a débuté dans un vieux bâtiment ou se rencontraient des poètes et des écrivains .Le slam est une affaire de nobles .le slam c’est un genre dans le hip hip .j’ai commencé a faire le slam est en 2009 .Au Sénégal j’ai un public qui aime ce que je fais et ca je pense que je le dois a l’originalité que j’apporte dans mes spectacles .
POURQUOI VOUS AVEZ LAISSE LE RAP EN UN MOMENT POUR FAIRE DU SLAM ?
C’est vrai qu’en un moment, j’avais débuté par le rap .Même dans mes textes on découvrait que je slammer beaucoup .C’est pourquoi j’ai viré dans le slam carrément .Le slam fait partie de moi .J’ai commencé’ a faire des recherches dans le slam , à jouer dans des spectacles. Mais c’est avec Matador que j’ai beaucoup appris .J’ai travaillé longtemps avec lui Et il m’a beaucoup aidé. Je le remercie de passage et tous les membres d’africult  urbains .C’est le bas que nous avons commencé notre premier club de slam qui s’appel carrefour poétique .Maintenant le slam connait une grande évolution au Sénégal .Il y’a beaucoup de club de slam, même dans les régions il y’en a .Les jeunes commencent a beaucoup aimer le slam .Alhamdoulilah
COMMENT EST PERCU LE SLAM AU SENEGAL ?
Au début le slam n’étais pas vraiment compris au Sénégal, mais maintenant Sava .Nous avons un public qui nous suit qui nous comprend même si nous n’avons pas encore atteint notre objectif .On continuons à travailler .Je fais de grand s spectacles de slam en plein aire, des gens viennent de partout .Nous  faisons la plupart de nos soirées a Givre one Project qui est une structure basés à  Ngor.
QUEL APPRECIATION FAITE DU SLAM OU DU HIP HIP EN GENERAL AU SENEGAL ?
Le mouvement Hip hop au senegal en dents de scie .Les hi hop peurs sénégalais sont dispersées  au Sénégal .Il faut que l’on revienne à la discutions .Nous sommes tous du même mouvement .Nous les slameurs notre rôle c’est de ressembler tous le mouvement .Notons quand même qu’il y’a une grande évolution du rap et du slam au senegal .Les gens du mouvement commencent a comprendre .Nous devons croire en nous .Nous avons notre mot a dire dans l’évolution du Sénégal
BOUDAL NDIATH

Sélectionneur du Sénégal: Si c’est Aliou, je dis oui !!!

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Le Sénégal a encore déçu en Coupe d’Afrique des Nations. Les Lions n’ont pas été à la hauteur des attentes. Et la conséquence logique de cette déconvenue du Sénégal est le limogeage du sélectionneur Alain Giresse.
Peut-on parler de limogeage? Pas tout à fait car le contrat du technicien français arrivait à terme et la Fédération Sénégalaise de football a décidé de ne pas le conduire.
Alain Giresse qui paye son entêtement et ses résultats décevants en CAN ne reviendra pas au Sénégal. Il rejoindra la France directement à partir de la Guinée Équatoriale.
Pour le choix du nouveau sélectionneur, le président Augustin Senghor n’écarte pas un Sénégalais ou un africain. Mais il faut le dire, au Sénégal on commence a en avoir raz-le-bol des pseudo-techniciens français  qui viennent en Afrique pour se forger une expérience.
Alors vivement un coach sénégalais. Et si c’est Aliou Cissé on ne fera qu’applaudir. Car il faut le reconnaître, même s’il n’a pas été un grand technicien quand il jouait, sans rigueur et amour démonstratif du maillot national plaident en sa faveur.

SOURCE :SENEGO

GUY ROUX «ALAIN GIRESS EST UN ENTRAINEUR MOYEN »


L’ancien entraineur de l’AJ Auxerre, Guy Roux, s’est prononcé sur le sélectionneur de l’équipe nationale du Sénégal à travers un entretien avec le quotidien Stades. Selon lui, Giresse a du chemin à faire en tant qu’entraineur.
« Je pense qu’il fut un footballeur formidable mais je pense que pour l’heure c’est un entraineur moyen, en tout cas moins performant que le joueur qu’il a été. Il a quand même fait un travail formidable au Gabon. C’est ce qui lui a valu tout ce respect et cette sympathie en Afrique. Mais je pense qu’il a encore à prouver son savoir faire ».

SOURCE :@Galsenfoot

lundi 26 janvier 2015

Dispute dans la tanière : Papy Djilobodji engueule Giresse

 
 
Une dispute a éclaté dans la tanière après le match nul du Sénégal contre les « Bafana bafana ». Tout a commence quand Papy Djilobodji a fait remarquer, à haute et intelligible voix, à Giresse que sa place n’était pas sur le banc de touche. 
Les autres joueurs embouchent la même trompette pour fustiger le choix de Giresse. Sur ce, les esprits se sont chauffés avant que des membres de la Fédération ne s'en mêlent pour se ranger du côté des joueurs. Joueurs comme membres de la fédération sont  ainsi contre les choix tactiques du  sélectionneur
 
 

Mary Teuw Niane accueilli à l’université de Ziguinchor par des brassards rouges

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Mary Teuw  Niane qui a été accueilli par des brassards rouges à l’université, Assane Seck de Ziguinchor ce Lundi .Des étudiants en colère demandent au ministre de l’Enseignement supérieur  en visite de chantier dans la capitale du sud plus de considération, des infrastructures pédagogiques et sociales. Ces étudiants de l'université Assane Seck réclament un amphithéâtre de 1000 places et une bibliothèque.

BOUDAL NDIATH

La frontière terrestre avec la Guinée rouverte ce lundi

frontière-guinée-sénégal

La frontière terrestre entre le Sénégal et la Guinée, fermée depuis plusieurs mois pour cause d’Ebola, a été rouverte ce lundi depuis zéro heure (00 heure), a annoncé le ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique.  »Cette décision d’ouverture fait suite aux rencontres entre autorités sénégalaises et guinéennes, lors desquelles les efforts importants, fournis par la République sœur de Guinée pour faire face à la maladie à virus Ebola ont pu être constatés », explique le ministère dans un communiqué transmis à l’Agence de presse sénégalaise. La réouverture de la frontière terrestre intervient après l’ouverture partielle des frontières aérienne et maritime.
Selon le ministère de l’Intérieur, cette décision ‘’tient également compte des préoccupations sécuritaires, raison pour laquelle un dispositif sera mis en place, au niveau des points de passage de la frontière, pour combattre les risques de propagation de la maladie’’.  »En conséquence, ajoute la même source, les personnes et les biens peuvent librement circuler par voie terrestre entre les deux pays, conformément aux normes qui régissent l’espace CEDEAO (Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest)’’.
 »Les autorités administratives et les forces de défense et de sécurité veilleront à la mise en œuvre de la présente décision’’, selon le communiqué. Le Sénégal a décidé depuis le 21 août dernier de fermer à nouveau ses frontières terrestres avec la Guinée, « compte tenu de l’évolution de la fièvre hémorragique à virus Ebola, qui pose un problème de santé publique de portée mondiale ».
Cette mesure était étendue aux frontières aériennes et maritimes pour les aéronefs et navires en provenance de la République de Guinée, de la Sierra Leone et du Liberia. Mais, Conakry n’avait pas apprécié cette décision, estimant qu’il n’y avait pas lieu de fermer des frontières. Le Sénégal a connu un seul cas d’Ebola le 29 août. Il s’agissait d’un étudiant guinéen arrivé à Dakar par la route en provenance de Guinée, où il avait été en contact direct avec un malade d’Ebola. Guéri, il a pu regagner son pays. En dépit de la fermeture de sa frontière avec la Guinée, le Sénégal avait accepté d’ouvrir un corridor humanitaire afin de permettre aux organisations humanitaires de ‘’porter assistance’’ aux pays de la sous région touchés par l’épidémie d’Ebola.
Des organisations humanitaires, voulant faire de Dakar une base régionale pour pouvoir acheminer dans les trois pays touchés les équipes médicales obligées de faire des rotations, le matériel et l’aide alimentaire urgente, avaient invité le Sénégal à ouvrir ce corridor humanitaire. La fermeture des frontières a été jugée contre-productive par de nombreuses organisations qui craignent un impact négatif sur les économies des pays touchés par l’épidémie.
Ainsi, réunis Accra pour les besoins d’un sommet extraordinaire consacré à l’épidémie Ebola, les chefs d’Etat des pays membres de la CEDEAO, ont appelé à une levée des restrictions et interdictions sur les mouvements des personnes et des biens en direction ou en provenance des pays affectés par cette maladie
SOURCE :SENEGO

Les Modou d’Espagne désemparés: 1.500 demandes d’ordre d’expulsion sur la table du Consul


emigres
Les Sénégalais vivant en situation irrégulière en Espagne risquent d’être expulsés tout simplement. Depuis les attentats de Charlie Hebdo en France, les autorités administratives espagnoles sont sous alerte. En effet, la police espagnole multiplie les descentes dans les lieux occupés et fréquentés par les immigrés, les Sénégalais en particuliers.
De Plaza Lavapiès, au Bar Cordere, des descentes musclées y sont faites pour traquer les sans papiers. Les immigrés en situation irrégulière sont tout simplement menacés d’expulsion. Le consul général du Sénégal, Mbagne Niang informe qu’il est impuissant face à cette situation, car c’est la loi espagnole qui la fonde. M Niang révèle avoir sur table, plus de 1.500 demandes d’ordre d’expulsion.
SOURCE :SENEGO

dimanche 25 janvier 2015

ALAIN GIRESSE, SELECTIONNEUR DU SENEGAL « IL NE FALLAIT SURTOUT PAS PERDRE CONTRE L’AFRIQUE DU SUD »


Apres le match Afrique du sud –Sénégal le sélectionneur des lions a préféré louer la qualité de l’Afrique du sud, avant de se contenter de ce point du nul .Alain giress ne semble pas regretter de ce point du nul .Dans cet interview Alain giress revient sur les changements effectués, nous analyse la prestation des lions face a une très bonne équipe sud africaine et de la dernière journée de la phase du groupe c.

COMMENT EXPLIQUEZ-VOUS CES CINQ CHANGEMENTS PAR RAPPORT AU ONZE DE DEPART CONTRE LE GHANA ?
« C’est plutôt quatre changements « Djilabodji,Souaré ,Badji ,Kouyaté et Ndoye étaient  titulaire face au Ghana avant de retrouver sur le banc hier remplacé par Gassama Mbengue ,Sow ,Alfred et Mané .C’était pour apporter de la fraicheur physique ce qui nous manquait un peu .Nous avons eu l’arrivé de Sadio Mané qui était prévue pour le deuxième match .C’était un peu pour redynamiser ce secteur .Ce n’était pas sur les changements qu’on peut  analyser ce match .Cela ne décline pas le contenu du match qui est lié a l’adversaire .Cela  a fait que ce qu’on a vu contre l’afrique du sud n’a pas aboutit»

L’ANALYSE DE LA RENCONTRE
« Nous avons joué contre une bonne équipe .Nous le savions et avons pu le vérifier sur ce match .Rien ne nous a surpris par rapport au premier match ou le résultat ne reflétait pas la manière dont ils ont joué .Dans le déroulement de la rencontre, je regrette qu’on ait pu gâcher nos ballons de construction …Il fallait avoir un peu plus de justesse technique .C’est dommage après il ne fallait surtout pas perdre contre cette équipe .C’était l’essentiel … »

LA DERNIERE JOURNEE  DE LA PHASE DE GROUPE
« Le suspens revient toujours par rapport à la constitution de ce groupe .La dernière journée sera décisive .Rien n’est encore fait .Cela démontre que le groupe qu’on qualifiait de difficile l’est .Maintenant ,premier ou deuxième ,one ne se pose pas la question .On joue le match ( face à l’Algérie) pour le gagner .On ne peut avoir une attitude calculatrice par rapport au classement mais au match .A malabo si la pelouse est bien tant mieux pour nous .Tout le monde profitera de la qualité du terrain »

 

BOUDAL NDIATH

JOURNALISTE –CONSULTANT CHEZ AFRICPOST

 

PAPE KHOULI DIOP MILIEU DE TERRAIN DES LIONS DU SENEGAL « JOUER INTELLIGEMENT CONTRE L’ALGERIE »



« Nous avons jouer un match difficile contre l’Afrique du sud .On savait que si les sud africains avaient perdu c’était la mort pour eux et ca a rendu la tache difficile .Nous avons pris un point , on reste premier du groupe et tout va se jouer à la dernière journée .c’est vrai qu’on est déçu ;qu’on a des regrets .On aurai aimé gagner ce match .Mais en foot –ball ,les matches sont différents .Maintenant ,le plus important ,c’est que quand on ne peut pas gagner ,il ne faut pas perdre .Et c’est  ce qu’il y’a de positif sur ce match .Contre L’Algérie ,ce sera un match qu’il faudra jouer intelligemment .On sait qu’on est premier tandis qu’eux seront obligés de jouer ,de gagner pour être sur de passer .C’est à nous d’en profiter et de faire le match qu’il faut pour se qualifier . »

BOUDAL NDIATH

JOURNALISTE –CONSULTANT CHEZ AFRICPOST

PLUSIEURS SENEGALAIS REFOULES LE VENDREDI A LA FRONTIERE SENEGALO -MAURITANIENNE

bac-rosso
Plusieurs Sénégalais ont été refoulés, le vendredi à la frontière sénégalo-mauritanienne. Ces derniers étaient en situation irrégulière à Nouakchott et environs, nous dit-on.
Nos compatriotes dépourvus de carte de séjour vivent des conditions difficiles en terre mauritanienne. Ils  sont victimes de rafles et d’interpellations menés par la police mauritanienne.
Ensuite, ils sont déversés, par véhicules de police, dans les différents commissariats de Nouakchott avant d’être expulsés par vagues successives vers Rosso Sénégal. Et souvent la méthode utilisée est très humiliante.
Une situation qui doit interpeller nos autorités centrales afin qu’une solution soit trouvée de manière définitive.

SOURCE :SENEGO

jeudi 22 janvier 2015

Foot - CAN 2015 :ALAIN GIRESS JUGE SES JOUEURS






Comme en 2012 avec Amara Traoré, Alain Giresse a accepté pour Sud Quotidien, de se soumettre à un exercice, pas du tout aisé. Celui de porter un jugement sur chacun de ses éléments. Mais, mieux que l’ entraineur du Jaraaf de Dakar, le technicien français, dresse un portrait robot aussi bien des joueurs retenus pour la CAN 2015 que pour les «recalés» et «bannis».  
BOUNA COUNDOUL :
C’est un garçon qui a de l’expérience qui maitrise maintenant son poste dans un secteur où il faut avoir beaucoup d’expérience. Il est dans sa bonne période de progression.
 
PAPE DEMBA CAMARA : 
C’est un jeune  gardien et en pleine progression. Il lui  manque des matches à répétition parce qu’il n’est toujours pas titulaire avec son club Sochaux pour prendre encore une dimension supplémentaire.  
 
LYS GOMIS : 
C’est un garçon très dynamique dans le sens du jeu. Il est actif, mais quand même il faut qu’il canalise son énergie car, il est trop sanguin. De ce fait, il doit mesurer sa capacité et savoir comment se comporter avec maitrise.
 
ZARGO TOURE : 
Un joueur d’équipe c'est-à-dire qu’il est discipliné et respecte les consignes. Il a la capacité aussi de jouer comme latéral sans que ça lui pose de problème. Donc, il nous donne des solutions et c’est pourquoi, il est intéressant dans le groupe.
 
KARA MBODJ : 
C’est un pilier de la défense. Un défenseur a toute sa dimension. Il est là pour défendre et préserver les buts de son équipe dans toute situation. C’est le premier rôle d’un défenseur et il le fait avec beaucoup d’efficacité. En plus, il a une bonne  relance et on voit qu’il prend confiance. 
 
PAPY DJILOBODJ : 
Je lui mettrais dans le même type de compliment et jugement que Kara Mbodj. En plus, Djilo est un gaucher et il nous donne beaucoup de solutions. C’est l’avantage d’un axe central gaucher. Il doit continuer à prendre confiance et améliorer toute l’attention pour bien remplir son poste. Etre défenseur, malheureusement, ne laisse pas de place à la moindre fantaisie
 
PAPE NDIAYE SOUARE : 
Un latéral gauche qui a la capacité de s’adapter à n’importe quel système grâce à son pied gauche. Il peut sortir des ballons propres avec son pied gauche. Mais, il faut qu’il se canalise dans ses interventions défensives. Parce qu’il est aussi plein de dynamisme dans son jeu, ses interventions.
 
CHEIKH MBENGUE : 
C’est un défenseur sérieux, appliqué car il a retrouvé beaucoup d’alarme dans son jeu. C’est un joueur sur lequel on peut compter à son poste. C’est vraiment des garçons qui sont sûrs dans l’esprit du jeu. 
 
LAMINE SANE : 
C’est un joueur qui vient de prendre une dimension supplémentaire avec son nouveau statut de capitaine à Bordeaux. Maintenant, on le sent plus affirmé. Il a une grosse qualité de vitesse pour un défenseur. Ça, c’est un atout.  C’est un défenseur vraiment  de haut niveau. On est dans la régularité. On est sur les joueurs qui prennent de l’ampleur dans le jeu. Un joueur ne se juge pas sur un match mais sur la durée et Lamine en fait partie. Idem pour Kara et Djilobodji.
 
IDRISSA GANA GUEYE : 
C’est le milieu type, c'est-à-dire un garçon qui est toujours en activité, dans le pressing et c’est ce qu’on recherche au milieu. Il a un gros volume de jeu. Ça lui donne une possibilité tout un coup de venir dans le jeu offensif et d’apporter sa touche. Mais, il est encore en train de gravir des échelons pour mieux maitriser son tempérament de milieu et de mieux maitriser son agressivité.
 
STEPHANE BADJI : 
Je l’appelle joueur d’équipe. Il est toujours disponible dans le jeu avec beaucoup d’agressivité, d’engagement. C’est vraiment un joueur dans le registre milieu de terrain, qu’une équipe à toujours besoin. Il faut aussi qu’il se canalise car, il va un peu partout.
 
PAPE KOULY DIOP : 
C’est un bon joueur de football comme on dit. C'est-à-dire qu’il a une capacité à donner dans un match, à garder un ballon, si c’est le cas, mais aussi à le donner au bon moment. Il donne du rythme avec une belle qualité de frappe. C’est vraiment un milieu qui organise le jeu de son équipe.
 
ALFRED NDIAYE : 
Il est bon dans la récupération, dans l’intervention, il a une puissance physique. C’est un gros travailleur. Attention, il doit se maitriser dès fois avec sa puissance physique qui l’emporte.
 
SALIF SANE : 
Un joueur de grande gabarie. Il est physique et il y a une possibilité technique assez élevée. C’est un bon joueur et un milieu, même si on pensait dans ce poste qu’il y aura des difficultés. Il est encore jeune et a tout à exploiter dans ses possibilités. Il n’est pas encore au bout de son potentiel. 
 
SADIO MANE : 
C’est l’attaquant qui, à peut tout moment faire la différence sur un geste, action ou un dribble. En plus, il peut éliminer une défense. C’est un joueur imprévisible. C'est-à-dire, il nous permet de déclencher la situation sans faire appel à l’aspect technique. Sur une action individuelle, il peut faire la différence. Il doit maintenant savoir quand est-ce qu’il doit faire une passe ou un dribble.
 
MAME BIRAM DIOUF : 
L’avant centre fixateur avec beaucoup de disponibilité, de déplacement. Il a un timing aéré impressionnant, c’est vraiment quelqu’un qui donne des solutions à son équipe. Mais, il est tellement généreux dans ses efforts qu’à un moment donné, qu’un attaquant doit savoir où le trouver et y être au moment important.
 
MOUSSA SOW : 
Un attaquant qui pèse. Il est moins axial surtout de la largeur du terrain, capable de jouer sur le coté et dans l’axe. Sa force, c’est ses appels, ses déplacements, son jeu vers l’avant et puis il a un très beau jeu aérien. Il sait couper la trajectoire des ballons. C’est déjà un attaquant qui a des bagages. Maintenant, il faut qu’il prenne les matches avec beaucoup de décision et de conviction.
 
DAME NDOYE : 
C’est quelqu’un qui est capable, à tout moment, de faire la différence dans un match. Il a des qualités techniques et athlétiques. Après, à un moment donné, il peut passer d’un très bon match à un match moins bon. C’est une forme d’irrégularité qui lui appartient parce que ce n’est pas un problème de qualité..
 
PAPIS DEMBA CISSE : 
C’est un buteur pour un attaquant qui a une grosse qualité technique. Il a de la présence, il peut sentir les ballons et être là au bon moment pour marquer. C’est ce qu’il est en train de faire, en équipe nationale, il a quand même marqué beaucoup de but. C’est un signe vraiment qu’il est l’attaquant au registre assez étendu. Mais, il doit maintenir son niveau d’efficacité, dans son registre à lui. C’est plus des chiffres, des statistiques. On juge leur qualité par le nombre de buts marqués.
 
DIAFRA SAKHO :
Il est en train de découvrir le haut niveau, de s’affirmer et il faut que ça continue. Il a une grosse puissance physique, il a aussi une capacité de percuter une défense. Sa grosse présence lui permet d’être en point d’appui et de toujours user de la défense adverse. Ses déplacements, sa présence, il est bon aérien. C’est un joueur qui fatigue l’adversaire dans son jeu.
 
LES RECALES
 
BOUKARY DRAME : On est encore dans le registre des arrières gauches. C’est des postes très spécifiques. En changeant de club, il a un peu retrouvé ses marques. Et là il nous donne d’autres possibilités car c’est un pur gaucher avec beaucoup d’alarmes offensives. Il faut qu’il pense encore à défendre mais c’est quelqu’un quand même quand on joue comme arrière gauche dans un champion comme l’Italie. Cela démontre qu’on a la capacité de remplir son rôle en équipe nationale.
 
PAPE ALIOUNE NDIAYE :  C’est un joueur à devenir, un milieu de terrain qui a des qualités offensives. Il a des arguments sur le plan offensif. S’il avait la chance de sortir dans le championnat norvégien pour monter son savoir faire il peut être intéressant car il peut jouer sur les cotés. Déjà, c’est quelque chose rare en équipe nationale. Donc, c’est un bon joueur de football qui sait manier le ballon. Après il faut qu’il progresse à travers les compétitions qu’il est appelé à faire.
 
LES «BANNIS»
 
ISSA CISSOKO : 
Un bon latéral offensif c'est-à-dire il s’est remplir bien son rôle.  Il a des capacités de faire sortir les ballons et il a des qualités de centre aussi. Mais dans son positionnement tactique, il doit être beaucoup concentré sur le travail qu’il a à faire quand on est un latéral.  
 
DEMBA BA : 
C’est l’attaquant, le percuteur qui joue vraiment à la pointe de l’attaque. Il a des qualités athlétiques sur ses déplacements, sa prise d’espace et puis sur la finition. Il est dans le registre des attaquants types de pointe et il ne peut jouer que dans l’axe. Parce que ses qualités et attitudes tournent autour de l’axe central.

 SOURCE :SUD QUOTIDIEN
                      



mercredi 21 janvier 2015

MADINA NDIATHBES : UNE COMMUNE EN LETHARGIE.


 
Depuis les dernières élections locales les choses marchent au ralentit dans la commune rurale de Madina Ndiathbes .En  effet les dernières  locales dans cette commune vont entrer dans les annales politiques .Un vrai fiasco que beaucoup ne vont pas oublier  sitôt.

Apres les élections locales, des jeunes se sentant frustrés par le scenario  politique qui a aboutit à l’élection Mr Demba Ba avaient incendiés la maison communautaire  .Cet incendie aura sans doute des répercutions dans cette commune qui n’a pratiquement pas de ressources financières .D’ailleurs sur le plan admistratif les choses marchent au ralentit pour ne pas dire au point mort .D’après nos sources plus de 24 registres d’actes civils ,8registres de Décès  ,un registre de Mariage, tous les archives administratives et tout le matériel  mobilier sont parti en l’air .Des dernières  élections locales à nos jours la maison communautaire ne fonctionne pas. Le maire de la commune et son équipe municipale sont obligés de louer un appartement dans le village pour essayer d’exécuter leur engagement vis-à-vis de la population .Malgré une certaine volonté du nouveau maire les choses semble toujours aller à pas de caméléons

D’après toujours nos sources le ministère des collectivités locales a été saisi officiellement par la personne morale de la commune pour la réfection de la  maison communautaire et a promis de réagir dans les plus brefs délais. « Sans quoi il est impossible de travailler dans ces conditions, nous avons difficilement accès à internet, nous travaillons dans des conditions extrêmes » affirme Mamadou dia secrétaire de la commune.



En somme au sortir des élections nous devons en  gagner  en maturité et en tirer des leçons qui nous serviront pour le futur. En tt état de cause les populations  doivent avoir un esprit de dépassement travailler main dans la main en vue de donner un avenir radieux à leur  localité
 
 

BOUDAL NDIATH

mardi 20 janvier 2015

Décès de Samba Ndiaye,ex-adjoint au maire de Podor : Racine Sy perd un de ses piliers

Décès de Samba Ndiaye,ex-adjoint au maire de Podor : Racine Sy perd un de ses piliers








La disparition soudaine de l'ex-adjoint au maire, Samba Ndiaye, a ému plus d'un Podorois. En attestent la nombreuse foule composée de parents, d'amis et d'hommes politiques qui l'a accompagné, hier, à sa dernière demeure et qui étaient visiblement affectées par ce décès. Rarement la disparition d'un fils du terroir aura suscité une telle émotion et tristesse.    

armi les personnes qui sont encore sous le choc, il y a Mamadou Racine Sy, allié politique du disparu qui, sitôt informé de la nouvelle, s'est rendu illico presto à Podor pour assister à son enterrement. En effet, aux dernières élections, l'homme d'affaires et politicien avait réussi à convaincre Samba Ndiaye de s'allier avec lui au sein de la coalition « And liggeyal Podor » pour la conquête du fauteuil de maire. Témoignant à l'endroit de ce dernier, R. Sy dira que Samba Ndiaye était l'exemple type d'une personne engagée pour son terroir. « Samba Ndiaye n'était pas venu à moi pour des intérêts personnels. Nos discussions étaient axées sur le développement de Podor qui le tenait à cœur et pour lequel il s'est longtemps investi. Et le pacte que nous avions signé était de travailler ensemble d'arrache-pieds pour sortir notre commune de sa léthargie actuelle ». Mais Sy avoue avoir, aussi, perdu un conseiller qui l'aidait beaucoup dans l'orientation de ses actions. « La disparition de Samba Ndiaye est, certes, une immense perte, mais nous devons méditer sur celle-ci pour dire que seuls les actes comptent. Aussi, me plaît-il, d'inviter les uns et les autres à suivre l'exemple de ce digne fils de Podor dont tout le monde reconnaît l'amour pour sa ville ».
Présent à l'oraison funèbre, l'imam El Hadji Cheikh Baba Diongue révèle avoir instruit à ses talibés, au dernier Gamou de Tivaouane, comme par prémonition, de prier pour Samba Ndiaye pour sa piété et son engagement patriotique. «Samba Ndiaye était un fidèle musulman et fervent talibé tidiane», témoigne l'imam.
D'autres personnalités dont l'actuel premier adjoint au maire, Mansour Sall, le Pr Moussa Daff, Baba Maal, ont tous magnifié l'exemplarité patriotique du disparu et reconnu la perte immense que constitue pour Podor, le décès de Samba Ndiaye.
Pour rappel, ce dernier, né en 1948 à Podor, est enseignant de formation. Son premier lieu d'affectation fut le village de Oréfondé dans la région de Matam et fut Directeur d'école à M'Boumba. Samba Ndiaye connaîtra d'autres contrées dans le cadre professionnel avant de revenir au bercail et y être surveillant général au collège d'enseignement moyen de Podor.
Il s'engagera, par la suite, en politique et le Parti socialiste a été sa première formation politique. Il y occupe le poste de Secrétaire général de l'Union régionale du mouvement des jeunes socialistes, en même temps qu'il est le responsable de section à Podor. A la création de l'AFP, il quitte le Ps pour devenir progressiste et rejoindre Moustapha Niasse. Il devient, ainsi, le coordonnateur départemental dudit parti à Podor. C'est à ce titre qu'il est sur la liste de Benno Siggil Senegal, vainqueur des élections locales de mars 2009, à la suite desquelles, il devient premier adjoint au maire.

A. Kane
Source :leral.net     

dimanche 18 janvier 2015

L'érudit et homme d'Etat Ceerno Sileymaani Baal présenté aux nouvelles générations











Dakar, 15 jan (APS) - L'universitaire sénégalais Mamadou Youry Sall a présenté, jeudi à Dakar, son livre consacré à l'érudit musulman Ceerno Sileymaani Baal, présenté par l'auteur comme l'un des premiers à avoir théorisé et mis en œuvre la bonne gouvernance au Sénégal au 18e siècle.
Intitulé ''Ceerno Sileymaani Baal, Fondateur de l'Almaamiyat (1776-1890)", ce livre édité par les Presses universitaires de Dakar (PUD), vise à faire davantage connaître à la nouvelle génération les écrits de cette figure historique à l'origine de la Révolution tooroodo. Celle-ci consistait en un mouvement de réforme islamique qui consacra la création d'un État théocratique fondé sur un idéal de justice.

Selon l'auteur Ceerno Sileymani Baal fut un érudit et un homme d'Etat qui "a mis en œuvre ce qu'il a théorisé (...), il a crée une forme d'Etat qui n'existait pas avant, ni en Europe, ni en Occident", dont les citoyens votaient et avaient un ''droit de regard sur tout".

"On parle beaucoup de Tombouctou (Mali)'' du point de vue surtout de la production, en raison d'une "forte concentration de manuscrits", "mais dans la sous région du Fouta Toro et du Fouta Djallon (…), la concentration des hommes de savoir était beaucoup plus forte et c'est ce qui a fait rayonner le Fouta", a déclaré Mamadou Youry Sall lors d'une cérémonie de dédicace.

Le professeur Babacar Diop dit Buuba du département des Langues et Civilisations anciennes de l’UCAD, préfacier du livre, était présent à cette cérémonie, ainsi que le professeur Iba Der Thiam, coordonnateur général du projet d’écriture de l'Histoire générale du Sénégal, entre autres personnalités.

Mamadou Youry Sall a rappelé que Ceerno Sileymaani Baal avait libéré le Fouta de la domination des maures et de l'esclavage en partant des principes démocratiques et de bonne gouvernance.

"Ce qui m’a motivé, c'est de dire que ce personnage devait être connu (...), j'ai donc pensé a la nouvelle génération, lycéens et collégiens, en produisant ce livre de 70 pages", a dit le chercheur, mathématicien de formation.

Les écrits de Ceerno Sileymaani Baal sont en langue pulaar mais en caractère arabe, preuve que la société africaine n'est pas seulement qu'une société orale, signale l'auteur.

"Nous avons écrit comme les autres, il faut savoir que nous avons emprunté les caractères dits arabes pour écrire nos langues, pulaar, soninké et wolof depuis le 15e siècle et c'est au même moment que les Français ont emprunté les caractères latins pour écrire leur langue", a-t-il déclaré.

Mamadou Youry Sall a fait état d'une "rupture" intervenue dans la chaîne de production et de transmission du savoir dans le système éducatif sénégalais.

"La première écriture que nous avions, était en caractère arabe. Il est vrai que c'est de bonne guerre, la colonisation l'a combattue en la transformant en caractère latin. Nos langues sont écartées, ceux qui accédaient aux caractères arabes sont largués, donc cette rupture a fait que notre système éducatif prépare les gens à accéder aux documents en caractère latin", a-t-il relevé.

D'après le chercheur, "les autres documents qui conservent notre production avant la colonisation et même pendant la colonisation ne sont pas bien étudiés parce que ceux qui sont des produits du système éducatif actuel n'ont pas assez d'outils pour y accéder''.

"On parle de la révolution de 1789 ou de celle des Etats Unis mais on ne parle pas de notre révolution, car les documents qui parlent de cela ont été écrits en caractère arabe. Donc, on a un peu biaisé notre formation en nous privant des moyens qui nous permettent d'accéder à notre production historique", a-t-il fait valoir.

Pour Mamadou Youry Sall, "le seul moyen de se rattraper, c'est faire en sorte que la langue arabe soit apprise au département d'histoire, en même temps que les caractères latins. Cela pourrait permettre d'outiller la nouvelle génération d'historiens" en leur permettant d'accéder à toutes les sources de l'histoire du Sénégal.

MACKY SALL S’EXPLIQUE SUR L’AFFAIRE CHARLIE HEBDO



Les réactions se multiplient après la publication du dernier numéro de Charlie Hebdo, dont la couverture présente une nouvelle caricature du prophète Mahomet. Etant à Ouagadougou, je me suis expliqué sur la décision d´interdire la vente du dernier numéro de l’hebdomadaire au Sénégal. Certes, j´étais à Paris le dimanche dernier, lors de la grande marche républicaine, mais pour moi, il s'agit de deux choses bien distinctes.
J’ai voulu indiquer que le Sénégal s’indignait face à ces méthodes barbares, intolérantes et inacceptables. […] C’est ça le sens de la présence, ce n’est pas «d’être Charlie», ou de «ne pas être Charlie». Maintenant, la question de la liberté de la presse, elle se pose partout dans le monde. Nous sommes des partisans de la liberté de la presse. Mais elle ne doit pas, de notre point de vue, entraîner vers ce qu’on peut considérer comme une provocation, tout à fait inutile.


SOURCE :http://www.rfi.fr/


AMADOU AW ALIAS MAXY CREZY ARTISTE RAPPEUR : « LE BUT DE L’OCCIDENT EST DE NOUS FAIRE UN LAVAGE DE CERVEAU AFIN DE NOUS ELOIGNER DE NOTRE RELIGION »


L’artiste Maxy crezy fait partie des sénégalais qui se sont retrouvés ce vendredi à la grande mosquée  de Dakar pour protester contre la dernière parution de Charlie Hebdo .Dans cet entretien que le rappeur sénégalais nous a livré Maxy  crezy se dit très déçu par le comportement de certains dirigeants africains à l’image Macky Sall qui a participé à la marche de paris et qui interdit en même temps la publication de Charlie Hebdo .Entretien

MAXY CRAZY VOUS AVEZ DISPARU DE LA CIRCULATION, QU’EST-CE QUE VOUS ETES DEVENU ?
Je suis toujours dans le rap, je fais des aller –retour  entre Dakar et les Etats unies .Je travaille sur des projets  culturelles, j’ai un projet qui s’appel  le cinquième élément qui  forme  des jeunes à la culture urbaine .J’ai commencé a mettre en œuvre ce projet à Diourbel .Tout récemment j’ai formé 100 jeunes dans la culture urbaine , aux techniques d’écriture de textes et à l’élaboration de projet  et de plan de carrière .Je suis entrain de travailler sur mon prochain album  qui doit sortir au courant de ce mois .
QUEL APPRECIATION FAITES-VOUS DU RAP SENEGALAIS ?
Le hip hop sénégalais a beaucoup évolué, les nouvelles technologies ont également facilité les choses pour les rappeurs .J’ai constaté  également  une nouvelle génération de rappeur .Je viens du fouta tout récemment j’ai vu vraiment que la rap vit très bien dans cette  partie du Sénégal .Maintenant le rap se fait dans toutes les langues  et c’est  vraiment très bien .Mais l’autre constat est que les rappeurs sénégalais copient beaucoup sur les américains contrairement à nous .Le seul conseil que je donne à la jeune génération de rappeur c’est de croire en eux , dans leurs textes de mettre l’accent sur nos réalités,
QU’EST-CE QUE VOUS PENSEZ DE L’AFFAIRE CHARLIE HEBDO QUI FAIT TANT DE BRUIT EN CE MOMENT ?
Dans l’affaire Charlie hebdo il y’a eu de la provocation de la part  des occidentaux .Il ont caricaturé le prophète Mohamed (PSL) sans même le connaitre .Les occidentaux veulent nous formater, nous éloigner de notre croyance .Il provoquent les gens pour qu’ils sortent de leur gong, juste pour dire voila ces gens la sont des terroristes .La position de l’occident par rapport au terrorisme est contradictoire .Il combatte le terrorisme et le finance en même temps .On a manifesté ce vendredi à Dakar pour dire à l’occident de s’arrêter parce que la liberté d’expression ne donne à personne la liberté de critiquer la religion d’autrui.

JUSTEMENT COMMENT VOUS TROUVEZ LA POSITION DE CERTAINS DIRIGEANTS AFRICAINS COMME MACKY SALL PAR EXEMPLE QUI A PARTICPE A LA MARCHE ORGANISEE A PARIS ET QUI INTERDIT LA PUBLICATION DE CHARLIE HEBDO AU SENEGAL ?
Sincèrement  je trouve contradictoire la position du président Macky Sall parce qu’on ne peut pas participer à une marche organisé par des gens qui ont caricaturé le prophète Mohamed et revenir au Sénégal pour interdire la publication de Charlie hebdo .Peut être il aura une explication a donner mais sincèrement j’y vois une contradiction  .Au delà du président Macky Sall tous les présidents africains qui ont participé a cette marche ont déshonoré l’Afrique .Pourquoi  ils n’ont pas marché pour tous ces morts qu’il y’a eu en Afrique ?Il y’a juste quelques jours vous avez vu le massacre qu’il y’a eu au Nigeria

QUEL APPEL LANCEZ-VOUS AUX AFRICAINS ?
Les  africains doivent croire en eux .C’est anormal qu’un africain rencontrent des difficultés au sein même du continent .Regardez comment il est difficile pour un africain de voyager au sein du continent .Exemple : un sénégalais a tous les problèmes  pour aller juste en Mauritanie, Vous jugez normal ? Il est temps de  penser aux états unies d’Afrique .C’est la seule solution pour sortir l’Afrique de cette situation 

 
                                                                                                BOUDAL NDIATH

   JOURNALISTE –CONSULTANT  CHEZ  AFRICPOST

 

 

mardi 13 janvier 2015

CAN 2015 subventions: Le 12ème gaïndé reçoit 20 millions, l’ANPS 10 millions


12ème gaindé

L’Association nationale de la presse sportive (ANPS) et le club des supporteurs sénégalais communément appelé 12e Gaïndé ont reçu mardi de l’opérateur de téléphonie SONATEL une subvention de 10 et 20 millions de francs CFA respectivement, en perspective de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) 2015, prévue du 17 janvier au 8 février en Guinée équatoriale.
Les chèques relatifs à cette subvention ont été remis au président de l’ANPS Mamadou Koumé et à celui du 12-ème Issa Laye Diop par la directrice de la communication commerciale d’Orange, Awa Niang, en présence du ministre des Sports Matar Bâ.

SOURCE :SENEGO

Numéro spécial de Charlie Hebdo: La provocation continue…



Marche-republicaine-a-Nancy

Le journal Charlie Hebdo a de nouveau dessiné le prophète Mouhammed PSL en Une pour son numéro spécial de ce mercredi et lui fait proclamer «Je suis Charlie». Une attitude provocatrice qui montre que ces mécréants qui n’ont aucun respect pour la foi des autres, ne sont pas prêts de s’amender.
La Une montre une caricature représentant le prophète qui pleure, habillé de blanc, et tenant entre ses mains une pancarte «Je suis Charlie». Au-dessus du dessin, le journal titre «Tout est pardonné». Une provocation de plus! Que indignera tous les musulmans de la terre et qui suscitera encore des réactions.
Si certains se limiteront à des condamnations, d’autres par contre seront tentés de verser dans la réplique violente car la violence, faudrait-il encore le rappeler, peutrevêtir diverses formes. Et le monde criera, avec la France et ses réseaux maçonniques, « nous devons lutter contre le terrorisme ». Oublinat que ces journalistes impies et irréverrencieux terrorisent les musulmans en jouant, en riant de ce qu’ils ont de plus sacré…..


SOURCE :SENEGO

vendredi 9 janvier 2015

LE SENEGAL GAGNE CONTRE LE GABON EN MATCH AMICAL CET APRES MIDI

Sénégal-Gabon (1-0) : Les Lions démarrent bien












Les lions du Sénégal ont battu l'équipe du Gabon cet après midi grâce au but  de Moussa Sow marqué sur penalty a la 68 eme minute de jeu .La rencontre entre les deux équipes entre dans le cadre de la préparation de la Can 2015 .

BOUDAL NDIATH

LE CLUB ANGLAIS N'EN DEMORD PAS :SOUTHAMPTON VEUT PRIVER SADIO MANE DE CAN

 
Même s’il se sent de mieux en mieux, Sadio Mané doit faire face à la position de son club qui ne souhaite pas le laisser jouer la Can 2015. Pourtant, le joueur se porterait mieux selon son agent allemand. 

« Le garçon se porte mieux », a assuré Bjorn Bezemer, joint par téléphone hier jeudi. Mais, c’est pour aussitôt ajouter : « Aujourd’hui (hier), les dirigeants de Southampton lui ont fait part de leur volonté de le faire accompagner par le médecin du club au Maroc. Pour que l’encadrement du Sénégal constate la blessure du joueur avant qu’il ne retourne à nouveau au club.

A en croire Bezemer, il a tenté de convaincre les dirigeants du club anglais : « Je leur ai fait comprendre que Sadio Mané a besoin de jouer cette CAN. Et qu’il n’est pas question qu’il fasse des allers-retours à n’en plus finir parce que l’équipe nationale est un symbole pour lui ; Là, demain (ce vendredi), j’ai réunion avec eux et je vais réitérer la position du joueur qui veut prendre part à cette compétition ». E l’agent de Sadio Mané de conclure : « S’il ne devait pas y participer, la décision viendra du médecin du Sénégal qui a les prérogatives de la faire. D’ailleurs, c’est moi-même qui vais l’accompagner jusqu’au Maroc pour le rassemblement ».

Source : Stades

jeudi 8 janvier 2015

LE FORAGE DE GOLLERE EN PANNE DEPUIS QUELQUES JOURS


Depuis quelques jours les robinets de golleré dans le département de Podor sont au point  mort .La cause ,le forage qui alimentait le village de golleré est tombé en panne .Les populations éprouvent d'énormes difficultés pour trouver le liquide précieux .Pour trouver de l'eau pour la consommation journalière les habitants de golleré font des kilomètres à sa recherche .D'après les informations que nous avons reçu ,le problème est vraiment sérieux et que les autorités étatiques sont sur pied d'œuvre .Pour le maire de la commune de golleré que nous avons joint au téléphone ,"la commune est à la recherche de solution ".




Diafra Sakho: « Je reste en Angleterre mais mon cœur est avec les lions de la Téranga. »







Son forfait officiel, l’attaquant de West Ham est fortement touché par la blessure qui lui brise un de ses plus beaux rêves: Disputer une Coupe d’Afrique avec son cher pays.
Sur sa page officielle, Diafra Sakho se désole de son absence à la Can avant de lancer un message fort à la tanière.
Diafra senego

« WOPOUYA »: TGV DE LUXE, OU MAL NECESSAIRE DANS LE FOUTA


« Wopouya » ou   «laisse partir »c’est ce moyen de transport bien particulier qui a permit de résoudre en partie l’enclavement de certaines zones du fouta .Véhicule de transport de type pick up le wopouya est un moyen de convoyage du betail, de transport de marchandises et de transport en commun que les humains partagent avec les marchandises et parfois les bêtes

L e département de Podor souffre  d’un manque criard d’infrastructures routières .Dans l’ile amorphile il n’ya pratiquement pas de routes goudronnés .Or les populations ont besoin de se déplacer d’une localité a une autre a l’intérieure de l’ile et au sein même du département de Podor .Hormis les charrettes qui font la navette entre le Diery et le walo, le seul moyen de transport pour ces habitants du fouta (En majorité agriculteurs et éleveurs) est  le  «wopouya » qui signifie en peulh « laisse partir ».Ici on l’appel meme le « TGV de luxe ».Mais le danger de ce moyen de transport est sa capacité à provoquer des accidents mortels .Ainsi en 2014 ces « wopouya » ont causé 17 accidents dans le Djolof. Néanmoins ce moyens de transport est considéré plus que jamais comme un mal nécessaire .Ils sont les seuls à pouvoir rallier sans entrave des localités très enclavées du fouta

BOUDAL NDIATH

JOURNALISTE –CONSULTANT  CHEZ  AFRICPOST